Un verre de Bordeaux s’il vous plait

Un verre de Bordeaux s'il vous plait

Et un grand !
La toupie de mon cœur soufflait samedi une bougie de plus sur le gros gâteau de la vie.
L’occasion pour moi d’aller la surprendre pour le week-end sur une idée de monsieur la toupie, The Dood, Michel pour les intimes.
Sa tête quand elle a réalisé que ce n’était pas le livreur de pizza mais une meldoise égarée (et un peu frigorifiée) nous a bien fait marrer.
De mon côté j’étais bien contente de découvrir Bordeaux d’une autre manière qu’en avril dernier quand nous leur avions rendu visite en famille, de pouvoir profiter de ma copine plus qu’une heure le temps d’un déjeuner et de rencontrer ses nouvelles amies bordelaises.

D’ailleurs dès le samedi matin j’étais dans le grand bain. Rendez vous chez Marik pour un shooting express des jupes qu’elle teint et coud elle même. Du vrai made in Bordeaux (je ne cranerai pas en vous racontant que j’en ai même eu une toute fraîchement cousue devant mes yeux pour pouvoir l’emmener en vacances au Maroc, non je ne crânerai pas).

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Nous avons déjeuné au Kokomo café une très belle adresse comme Bordeaux en regorge, d’après ce que j’ai compris c’est le petit frère Healthy du Kokomo qui selon les retours que j’ai eu sur instagram propose des frites au cheddar démoniaques. I’ll be back  pour goûter ça!

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Pour continuer dans la pintaderie on a enchaîné sur une manucure à domicile et un peu de shopping, histoire de rester dans le thème.

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Mon dieu mon dieu, les belles boutiques bordelaises, les bonnes pâtisseries (dunes blanches et cannelés les deux mamelles de mes capitons), tu m’étonnes qu’une fois partis on n’aie plus envie de revenir !

Le soir venu, on a mis des paillettes sur nos yeux pour fêter cet anniversaire comme il se doit. Étrangement,  de ça je n’ai pas de photos, trop occupée que j’étais à boire du champagne.
Raisonnablement tout de même si bien que le dimanche on a pu profiter de la demi journée avant que je reparte dans l’autre sens.

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Aude m’a fait découvrir une tuerie de fleuriste dont j’ai ramené une belle petite plante cousine du très tendance (et introuvable par chez moi) Pilea (oui je suis un cliché et j’assume).

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Puis on s’est promenées le nez en l’air jusqu’au marché sur les quai pour y rejoindre une petite famille qu’on connait bien.

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C’était bien chouette ces retrouvailles autour d’une assiette d’huîtres bien fraîches et d’un verre de blanc. Quelques de degrés de plus et on aurait pu y passer l’après-midi…

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L’heure de reprendre le train est vite arrivée, j’ai planté de gros bisous sur toutes ces joues rougies par le froid de janvier en promettant de revenir vite vite, à deux où à quatre, puis j’ai claqué la porte de mon Uber telle une héroïne de comédie romantique sauf que là il n’y avait pas de Joseph Gordon Lewitt lancé à ma poursuite dans un taxi jaune.

(Petite parenthèse de mamounistique: en vrai les trajets en train quand tu largues les enfants pour le week-end c’est tout sauf une corvée on est d’accord, non? Un magazine un truc à grignoter et le sileeeence, que demande le peuple!?)

Heureusement à l’arrivée m’attendait le plus chaleureux des accueils à base de « ze t’aime » et « le plus beau cadeau c’est que tu sois revenue maman (même si on est tout de même bien contentes que tu nous aies ramené des vrais cadeaux, faudrait pas déconner non plus…).

Aujourd’hui le ciel est gris à Meaux, mais dans mon cœur brille encore la lumière de Bordeaux (et dans mes veines coule encore le vin du même nom, ahahah).