coeur Sean Lennon, une jolie découvertecoeur

Je ne peux pas parler de Sean Lennon sans aborder l’admiration (et l’amour un peu aussi) sans bornes que je voue à son père. Et la méfiance que j’ai pour sa mère…
J’ai eu comme une grosse poussée de fièvre, ma période Beatles à l’adolescence (comme beaucoup, je pense).
10 ans après, je tends toujours l’oreille à la moindre note de « Yesterday » et j’ai une grosse boule dans la gorge dès la première mesure d’Imagine.
Bref, je repoussais le moment de découvrir le rejeton de mon idole, craignant qu’il soit le digne fils de sa mère, cette briseuse de groupe (oui je sais toute cette histoire n’est qu’un mythe, mais que voulez vous, les légendes ont la dent dure!).
Et puis l’autre jour, je me balladais à la fnac, haut lieu de perdition de ma carte bleue, et j’ai été attirée par ce joli CD au graphisme féminin, à prix vert s’il vous plaît, c’est le destin qui nous réunissait !
Dès la première écoute, je suis tombée sous le charme de toutes les chansons de l’album.
On y sent une inspiration toute personnelle, et pourtant l’ombre paternelle flotte au dessus de moi quand je monte le son…
Bref, Friendly Fire est mon nouvel album de chevet, à écouter en toutes circonstances.